TOP 20 MANGA - numéro 19

Et le gagnant est...

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TOP 20 MANGA - numéro 20

Voici la première vidéo d'une série de 20 qui vont vous donner mes mangas préférés.

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OVNI Cinéma 23 : Summer Wars (+top6)

Un épisode un petit peu plus long, un petit peu plus personnel. Je vous présente mes films préférés et je parle un peu plus en profondeur de ce dessin animé japonais exceptionnel.

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Reportage Geek : Made in Asia 4 (2012)

Voici le très attendu compte-rendu de la Made in Asia 4 ! Sur le ton de la déconnade qui caractérise la Zone Geek, nous vous présentons l'ambiance générale et nos interviews des invités de prestige de ce festival japonisant !



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Zone Geek émission 34 : Hayao Miyazaki

Dans cet épisode spécial, Nurgle et Gillus vous présente TOUS les films d'animation réalisés par Hayao Miyazaki. Pendant ce temps Goldo est en reportage spécial au Skywalker Ranch ! Que va t-il s'y passer ??



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Les Z'Invincibles IV : Ranma 1/2

Et voilà pour finir le dernier épisode des Z'Invincibles. Après Dragon Ball, Ken le survivant et les Chevaliers du Zodiaque, celui-ci porte sur Ranma 1/2 (dont voilà le générique français que je déteste et le générique original qui me fait mourir de rire).
Comme vous le voyez ce sont toujours les mêmes personnes qui sont caricaturées.
Hé oui, cette fois Bernard Minet est le méchant ! A la base, il n'était pas prévu qu'il reviennent dans chaque épisode des Z'Invincibles, mais ça faisait rire tout le monde donc on a continué.
Je crois que c'est la seule fois où Laurent dessine Bernard Minet. Celui-ci a la transformation de Tarô le collant bien entendu. On reprend le nom des attaques du manga et pas du dessin animé.

Pauvre Bernard Minet T_T Je l'ai rencontré il y a quelques années quand il est venu chanter à l'ULB, c'était bien marrant et lui il était perdu quand il c'est retrouvé face à une salle entière d'étudiants complètement pleins.

Et voilà, les Z'Invincibles c'est fini. Encore désolé pour la qualité pourrie mais j'espère que vous avez quand même apprécié.

PS : Je viens de découvrir qu'il y avait une série TV française sortie en 1991 qui portait le titre des Z'invincibles. Je l'ignorais complètement !

Z'Invicibles I - Z'Invicibles II - Z'Invicibles III

Les Z'Invincibles III : Les Chevaliers du Zodiaque

Voici le plus long de tous les Z'Invincibles, celui sur les Chevaliers du Zodiaque. Générique de Bernard Minet bien entendu. Je remercie particulièrement Laurent pour celui-ci, car il était capable de redessiner les armures de mémoire ! Quand ce sont mes dessins les armures sont bof…
Cette fois on est bien méchants avec Bernad Minet, il ne le mérite pas :)
On est aussi un peu méchant avec Corbier, mais franchement on l'adore. C'est vraiment un type bon esprit. Il y a un réel problème de lecture des phylactères dans la 4ème case.
Les trois méchants de l'histoire sont encore des “private jokes”, mais je tiens surtout à préciser que Riri ici présent est quelqu'un de bon esprit et je sais que s'il voit ces pages il ne se sentira pas offensé. Dans la 5ème case, c'est un coup de pied très “Ranma 1/2” (l'un de mes mangas préférés).
Là par contre on est franchement puéril, mais bon…
J'aime bien cette petite série avec Bernard Minet qui veut intervenir, et à l'avant-dernière page le voici !
L'attaque des fils vient bien entendu de Mime, chevalier de la Harpe, “prépare-toi chevalier, ma dernière note te sera fatale” XD

Z'Invicibles I - Z'Invicibles II - Z'Invicibles IV

Les Z'Invincibles II : Ken le survivant

Alors voici la deuxième histoire sur les quatre. Cette fois on parodie clairement Ken le survivant. Une chose que l'on retrouve ici et plus tard c'est l'attitude puérile de se moquer de personnes réelles que l'on n'aimait pas. Je n'en ai même pas honte (allez, juste un peu).
“Technique Hokuto à steak, planche à pain !” et “Technique du nanto de fourrure, les 1000 petites griffures du dragon furieux”… on reprend évidement les doublages ridicules de Ken de l'époque. Les Ronys (je suis à peu près sûr que l'orthographe est mauvaise), c'est ainsi que l'on appelle les racailles dans certaines régions de Belgique.
“Ils sont déjà morts” :) ultime ! Beaucoup de “private jokes” autours de ce méchant, donc désolé si vous ne comprenez pas tout T_T
Cette fois Bernard Minet se fait malmener… ce n'est pas la dernière fois ^^

Enfin voilà, la troisième histoire parodie les Chevaliers du Zodiaque. Que voulez-vous, génération Club Dorothée ^^

Z'Invicibles I - Z'Invicibles III - Z'Invicibles IV

Les Z'Invincibles I : plus ou moins Dragon Ball

Bon bon… Voilà un truc que je garde depuis longtemps et ça fait aussi longtemps que j'hésite à le mettre pour divers raisons. La première, la plus évidente, étant la qualité horrible de cette BD. C'est un vieux truc qui doit dater de… 2003 je crois.
Enfin bon, le truc c'est que pendant certains cours pendant mes études d'infographie, moi et un copain (que nous appellerons ici Laurent) on s'ennuyait à mort. Donc au lieu d'écouter on dessinait tout et n'importe quoi. Un jour, je dessine pour rigoler une demi-page d'une parodie de manga, et Laurent (qui se marre bien) la continue. Et voilà, les Z'Invincibles étaient nés.
Donc cette première histoire a vraiment été fait sans la moindre réflexion. On ne se concertait pas sur le scénario (s'il y en a un) et on se laissait la surprise de la suite de l'histoire à chaque fois. Les,Z'Invincibles suivants sont clairement la parodie de mangas bien préçis, mais le premier ressemble vaguement à un Dragon Ball sans plus.
Voilà, désolé pour la qualité pourrie, mais ça vient de crayonnés sur des feuilles quadrillées que j'ai retrouvés par hasard dans de vieux classeurs, j'ai rattrapé ça comme je pouvais. Fournis avec les fautes d'orthographe d'origine. Enjoy !

En gros ça devait s'arrêter là, mais on a quand même continué. On voit assez bien la différence de dessin entre Laurent et moi (le sien ressemble plus à du vrai manga). Et oui, c'est le terrible Grizzor !

Notre transformation à la fin n'a rien a voir avec Dragon Ball. Je dirais plutôt que ça se rapproche de Yu Yu Hakusho (en fait c'est juste n'importe quoi).

La fusion est l'élément le plus flagrant que nous avons pris à l'univers de Dragon Ball (c'est Girant !).

Première apparition de Bernard Minet. Le commandant François était sensé revenir à chaque fois, mais c'est sa seul apparition. Il nous a plus ou moins été inspiré par le commandant Ikari d'Evangelion… sauf qu'il vole et qu'il a une cape (ne m'en demandez pas plus).
A bientôt pour le deuxième volet des Z'Invincibles. Si vous avez des soucis pour lire certaines bulles, demandez-moi :)
Z'Invicibles II - Z'Invicibles III - Z'Invicibles IV

Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2

Dessin original de Masashi Kishimoto, couleurs par Gillus

Venons-en au sujet du jour : le jeu PS3 et Xbox 360 Naruto Shippuden : Ultimate Ninja Storm 2. Avant tout, si vous n'êtes pas fan du manga ou de la série, ce jeu n'est pas pour vous. Même moi j'ai trouvé parfois que les dialogues étaient longs et quelqu'un qui ne connait pas l'histoire trouvera ça confus et décousu.

Commençons par les graphismes. Ils sont magnifiques. Peut-être la plus belle application du cel-shading que j'ai jamais vu. Les personnages sont dynamiques et expressifs, c'est un vrai plaisir surtout dans les séquences vidéo.

En ce qui concerne le mode histoire… il y a beaucoup à dire. Il suit fidèlement la seconde partie de l'histoire de Naruto depuis son retour à Konoha à 16 ans jusqu'à son combat contre Pain. C'est un plaisir que de voir que presque tous les dialogues ont été refais par les doubleurs originaux de la série. Mais parfois c'est long… trop long et j'en suis arrivé à passer tous les dialogues par arriver au combat suivant. Je regrette que contrairement à d'autres jeux Naruto on ne puisse pas se balader librement dans Konoha, marchant sur les murs et sautant de bâtiment en bâtiment, mais je m'y suis fait et le village est remplis de monde et très vivant. Par contre leur système de ramassage d'objets (pour avoir accès à de nouveaux objets dans les magasins) est complètement ennuyeux et n'apporte rien au gameplay. Ce qui fera le bonheur des fans, ce sont les quelques combats qui mélangent face à face classique, combats uniques et quick time event. Ces moments sont du pur plaisir pour les yeux et sont particulièrement bien réalisé. On regrette juste qu'il n'y en ai pas encore plus.

Pour ce qui est du mode versus et des combats en général, c'est là que le bât blesse. Il… n'est… pas mauvais. J'ai bien aimé les combats et bien que j'ai été très déstabilisé au début, je m'y suis fait. Le problème c'est que je m'attendais à mieux et que ce jeu perd beaucoup de sa durée de vie à cause de son gameplay moyen. Il n'est pas arrivé à trouver sa place dans mes soirées jeux de baston (avec Street Fighter, Soul Calibur et UFC) et il n'y a pas grand monde qui veut bien jouer avec moi. Il manque un côté tactique à tout ça, un timing précis pour rendre les combats intéressants.

Voilà, en gros je dirais que c'est un bon jeu pour les fans de Naruto, mais une fois le mode histoire complété (en environ 20 heures) il perd beaucoup de son intérêt. Je lui donne 13/20 en tenant compte de son public restreint.

Hommage à Junji Ito

Le maître de l’horreur japonais, celui qui fait les histoires les plus dérangeantes que je connaisse est malheureusement assez peu connu. Il mérite qu’on parle un peu de lui.
Les histoires de Junji Ito se ressemblent un peu toutes, c’est vrai. Une héroïne (ou très rarement un héros) assez jeune (adolescente ou jeune adulte) est confrontée à une horreur surnaturelle. Mais ces récits ont tous cette ambiance de cauchemar qui plonge le lecteur dans l’histoire.
Cauchemardesque est le bon mot, car toutes ces histoires n’ont aucun sens en soit ; il y a vraiment le genre de logiques que l’on ne retrouve que dans le monde du rêve. J’avancerais même que tous ses mini-récits (qui forment le plus gros de ses ouvrages) se finissent de manière abrupte, comme quand on se réveille d’un cauchemar.
Ces manga présentent des «­kaidan» typiques de la culture japonaise (des histoires de fantômes). On y retrouve le même genre de superstitions que dans les films de Hideo Nakata (Ringu, Dark Water, etc).

Ce genre de présentation et les thèmes des histoires étranges ne plairont pas à tout le monde et j’avoue que ces mangas ne sont pas fait pour n’importe qui. Il y a énormément de violence graphique dans l’oeuvre de Junji Ito, et encore plus d’horreur suggérée.
A ma connaissance il n’y a que 4 récits qui dépassent les habituelles nouvelles d’une vingtaine de page et ce sont Tomié, Spirale, Gyo et Rémina (encore que dans Tomié il n’y a aucun autre lien entre les histoires autre que la fille qui donne son nom au manga). Si je devais en conseiller un, je choisirais Spirale sans hésiter, car il cumule tous les bons côtés de Junji Ito. De plus, c’est l’une des seules histoires à avoir une fin (avec peut-être Rémina).

Tous les Junji Ito sortent en français aux éditions Tonkam.

Le voleur de visages, Le mystère de la chair, La femme limace, Les fruits sanglants et La maison des poupées sont des recueils de nouvelles (en manga, hein) qui font environ 20 pages chacune et qui n'ont rien à voir les unes avec les autres. Le prochain volume à sortir, , sera sans doute pareille.

Le journal de Soïchi et Le journal maudit de Soïchi sont aussi des nouvelles, mais avec les mêmes personnages ; principalement le jeune Soïchi qui s'amuse à lancer des malédictions à son entourage. Hallucinations est aussi un peu comme ça avec un seul personnage qui subit d'étranges évènements dans sa maison.

Spirale est un peu pareil. En effet, ce sont les mêmes personnages et les histoires se suivent mais on pourrait facilement en lire une au hasard tout en comprenant ce qui se passe (dans la limite où on peut comprendre les scénarios bizarres de Junji Ito).

Tomié est son plus ancien manga et suis plus ou moins le même principe. Dans chaque histoire elle est là (ou plutôt l'une des Tomiés est là ; comprendront ceux qui l'on lu) mais il est rare que d'autres personnages soient dans plusieurs histoires.

Gyo est un manga qui n'est pas découpé en nouvelles et les deux tomes forment une histoire suivie. C'est dommage qu'elle n'a jamais été terminée car c'est pour moi l'une des plus grandes réussite de Junji Ito.

Enfin Rémina est une histoire complète en un tome.