vendredi 29 avril 2011

Warhammer 40k


(Repost d'un viel article)
Ca fait si longtemps que je joue aux jeux de Games Workshop que j'ai du mal à me souvenir d'une période où je n'y touchais pas. Hé oui ça fait déjà plus de 16 ans. Même si j'ai commencé avec Warhammer Battle, c'est Warhammer 40.000 qui a le plus attiré mon attention. Déjà c'est un univers de jeu très intéressant, car dans l'espace il n'y a que la guerre. Cet univers a récemment inspiré deux jeux de rôle (depuis le temps qu'on les attendait ceux-là) : Dark Heresy et Rogue Trader.
Mais je suis là pour parler du jeu de figurines. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s'agit d'acheter et de peindre une armée de figurines en plastique et en plomb (enfin, en métal blanc maintenant) et tout un système de règle permet de personnaliser ses troupe, leur donnant des forces et des faiblesses. Ensuite on peut y jouer un peu comme avec un jeu de plateau, mais en bien plus compliqué.


Aucune armée de 40k (pour les intimes) ne peut vraiment être considéré comme les "gentils". Toutes sont composées de tordus et de fanatiques, même celle des "nobles" Space Marines (qui passent plus de temps à brûler les hérétiques qu'à sauver les gens). Mon armée de prédilection a toujours été les Orks ; vous voyez les orcs du seigneur des anneaux? He bien vous leur donner des gros flingues et un char d'assaut et c'est ça. Mais je possède aussi, pour les amateur, une armée de Space Marines du chaos (100% Tzeench) et une autre de Space Wolves.
Ce que je préfère dans ce jeu, ce n'est ni de peindre ni de jouer, mais c'est de convertir ses figurines. C'est à dire les modifier, les découper, leur donner d'autres armes, d'autre positions, etc. C'est pour ça que j'ai choisi les orks. Avec eux on peut faire n'importe quoi, mélanger les équipements, prendre des véhicules d'autres armées, tout est crédible. J'ai des batteries d'artillerie faits avec un tube en plastique et trois bouts de carton et ça donne bien. Je ne joue jamais une figurine telle qu'elle est sorti de la boîte. Et pour ça, il faut reconnaître que Games Workshop a fait fort. Ils ont atteint une telle maîtrise des figurines plastiques que c'est vraiment devenu un plaisir de convertir. Je me souviens qu'au début du développement des grappes plastique je râlais, mais j'avais bien tort. Par contre, tout ça est toujours fort cher.
J'ai aussi écrit les règles pour une campagne (autrement dit, un contexte pour une série de batailles dont un seul joueur sortira vainqueur), "la fièvre du zythorium".
Voici une série de photos de mes orks chéris, enfin de quelques-un des centaines de figurines que j'ai dû peindre.







jeudi 28 avril 2011

Sonic 4 : Episode 1



Sortir les nouveaux Sonic en "épisodes" est une aberration du monde du jeu vidéo moderne qui permet à Sega de faire payer plus cher un jeu complet, mais je ne vais pas m'éterniser là dessus. Sonic 4 : Episode 1 coûte en gros 15€ en direct download (sur la Xbox 360 en tout cas) et la grande question est : les vaut-il? Je vais répondre à cette question.

Je peux résumer le jeu à plus ou moins ceci : Mauvais côté, c'est en gros un remake de Sonic 1 avec des trucs en plus… Bon côté, c'est en gros un remake de Sonic 1 avec des trucs en plus !!

Voilà, ce jeu n'est pas original mais C'EST un Sonic digne de ce nom ! Suite aux mauvaises critiques je n'ai pas vraiment joué aux Sonic "modernes" mais je suis un fan inconditionnel de ceux sur Megadrive que je chéris toujours. Et Sonic 4 est un très bon jeu, il faut le reconnaître.

Les stages sont très biens faits et dignes des anciens jeux, avec de nombreux chemins et passages secrets. Mais le plus important ajout est à première vue un détail dans la jouabilité, mais quel détail ! Le fait de pouvoir faire un "dash", un mouvement vers l'avant ou vers l'arrière en plein saut, donne un meilleur contrôle du personnage ; et c'est ce qui compte dans un jeu de plateforme. Ca parait ne pas être grand chose, mais ce dash rend le jeu très agréable.

Par contre… Ne pouvaient-on pas faire des boss de fin de stage originaux?? Merde quoi, si je ne m'abuse ils sont tous repris de l'un des jeux sur Megadrive. C'est ça le plus gros défaut. Autre détail, après avoir rejoué les stages encore et encore pour récupérer les 7 gemmes du chaos (ce qui n'est pas un problème pour moi, ça augmente le temps du jeu et c'est un chouette challenge), la musique quand on se transforme en Super Sonic est pour le moins décevante. Revenez à l'ancienne s'il vous plait ! Et pourquoi n'y a t'il pas moyen de jouer à 2 avec Tails??

Le jeu n'est pas très long, mais pour 15€ c'est largement satisfaisant. Donc OUI, Sonic 4 : Episode 1 vaut la peine d'être acheté, surtout pour les retrogamers et les amateurs de jeux de plateforme. J'espère cependant qu'ils feront mieux pour l'Episode 2

mercredi 27 avril 2011

Journée Via Romana 2009

Prises à Ath pour la journée Gallo-Romaine de 2009.













Nouvelle lune, un projet abandonné

C'était il y a déjà 8 ans je crois, je voulais lancer une BD. Donc j'ai pris un cahier, j'ai écris une histoire et j'ai fais des croquis. Classique quoi. Mais bon maintenant je crois que je peux oublier cette histoire.

Pourquoi? Déjà parce que je n'ai pas le temps, parce que ne dessine pas si bien les personnages et encore moins bien les décors (on me l'a répété assez de fois quand je faisais les Improbables Aventures de Raoul) et puis surtout parce Nouvelle Lune manque totalement d'originalité.

Un héros peureux qui se retrouve malgré lui embarqué dans une aventure dont dépend le destin du monde dans un univers médiéval fantastique, ça ne s'est jamais vu !

Sinon pour faire un petit résumé :

Le héros (au nom de Guillaume dans la dernière version, mais c'était avant la sortie de la BD “Messire Guillaume”) rencontre Aros, un homme-loup. Celui-ci est non seulement un grand guerrier mais aussi le chaman de la tribu royale de son peuple. Les hommes-loups ne sont pas des loups-garou dans le sens où on l'entend car ils ne changent pas de forme ; par contre les humains blessés par leur griffes subissent cette malédiction à la pleine lune.

En gros on approche de la fin du monde. Ce monde a été engendré par la lune qui s'est unie avec la pierre pour donner naissance aux nains (ceux-ci devaient ressemble aux gnomes des aventures de Raoul). Elle a couché avec la terre pour donner naissance aux hommes et avec les étoiles pour engendrer les dieux. Par contre elle a été violée par un loup ; ceci engendra la race d'Aros mais elle les maudis pour punir leur père.

Pour rester dans le cliché il y a aussi un seigneur noir, le Messager des Ombres, et une histoire d'amour avec la noble Étain.

Je ne vais pas tout révéler parce que ça pourra me resservir plus tard, mais on a là les grandes lignes.

lundi 25 avril 2011

Ambition









Voilà un jeu de plateau de ma création. Les illustrations sont de Chiara Perrone. C'est un peu un mélange entre les échecs et Stratego.

Hellraiser


Après avoir regardé les 8 films Hellraiser et lu le roman de Clive Barker, je peux enfin donner mon avis sur chacun. Je critique beaucoup, c'est vrai, car pour moi seul le premier est un film qu'il y a moyen d'apprécier au premier degré (voir peut-être le deuxième). Mais il faut avouer que la plupart des Hellraiser peuvent être bien marrant à voir dans le cadre d'une soirée nanar.

Hellraiser Concernant le premier, c'est assez simple : c'est l'un des meilleurs film d'horreur de tous les temps. L'histoire est super, le jeu d'acteur magnifique et les effets spéciaux sont au top du top (pour l'époque, même s'ils n'ont pas pris une ride). Il y a quelques répliques extraordinaires des Cénobites. C'est aussi l'une des adaptation les plus fidèle d'un roman que j'ai jamais vu ; ce qui est logique puisque qu'il a été réalisé par Clive Barker lui-même. En ce sens, le film dépasse peut-être le roman, car Clive Barker a eu l'occasion et le temps se développer son histoire. Vous ne l'avez pas vu? Qu'est-ce que vous attendez??

Hellbound: Hellraiser 2 On descend très vite avec le deuxième film. Même s'il a l'avantage d'être une suite directe du premier, et d'être le seul de la série à garder l'idée de base de celui-ci, il y a quand même un certain nombre de scènes ridicules. De plus on reste vraiment sur sa faim. Voilà ce qui arrive quand on veut trop en révéler sur une histoire mystérieuse. Mais bon, ça va encore et il est tout à fait possible de l'apprécier.

Hellraiser 3: Hell on Earth C'est ici que les romains s'empoignèrent. Ici, Pinhead n'est plus qu'un “méchant” de slasher de base. Même s'il est toujours magnifiquement interprété par Doug Bradley et qu'il sort quelques réplique appréciables, le personnage a perdu tout son charme. Il veut… conquérir le monde (of course !) sans raison apparente et ce qui est vraiment dommage c'est qu'il n'y a plus qu'un seul Cénobite et que ce sera le cas pour le reste de la série.

Hellraiser - Bloodline Accompagné d'horribles effets spéciaux, le scénario du numéro 4 de la série ne tient pas du tout la route. Dans la lignée du 3ème, celui-ci a au moins l'avantage d'essayer de donner l'histoire de la “boîte de Lemarchant” (The Lament Configuration). Notez que Bruce Ramsay joue le rôle du créateur de la boîte, mais aussi de tous ses descendants. Ce genre de chose peut marcher dans les comédies mais fait perdre le peu de crédibilité qu'a ce film.

Hellraiser - Inferno Une bonne surprise dans la série. Bien que l'on s'éloigne de l'histoire de base des Cénobites, le scénario et la mise en scène de ce 5ème film est assez bien. L'histoire est originale mais est plus proche d'un Silent Hill que d'un Hellraiser, tant il s'agit plus d'un cauchemar que d'une vision infernale.

Hellraiser VI - Hellseeker Une simple répétition du 5ème. Même si l'on est content de retrouver Ashley Laurence dans le rôle de Kristy, ce film reste lent et fade. Meilleur que quelques bouses d'avant, il reste tout de même un film facile à oublier.

Hellraiser - Deader Toujours un mauvais copié-collé du 5ème, on se retrouve devant un film ennuyeux à en mourir. Le scénario est étonnamment compliqué, et j'ai probablement manqué quelques explication, pour vous dire comme il est difficile de rester concentré en le regardant.

Hellraiser - Hellworld Enfin, la crème de la crème. Par où commencer? Premièrement, ce film n'est pas un film d'horreur mais un mauvais slasher. "Des ados se retrouvent à faire la fête dans une maison hantée et se font tuer un par un“, jamais entendu ça avant? J'ai failli arrêter avant la fin, mais heureusement que je ne l'ai pas fait car le twist final est à mourir de rire. Le pauvre Doug Bradley a dût souffrir quand on lui a fait dire des répliques aussi ridicules que ”How's that for a wakeup call?". A éviter absolument, même pour rire.

jeudi 21 avril 2011

Machinarium


Machinarium est un jeu vidéo indépendant créé par Amanita Design (développeur tchèque). C'est un point & click old school dans la veine des jeux d'aventure de l'époque comme Day of the Tentacles ou Monkey Island.

C'est un très très bon jeu dans son genre, particulièrement pour son design très fouillé et son animation fluide. Ce jeu est rempli d'énigmes plus difficiles les unes que les autres et il y faut quand même un certain temps pour le finir.

Amanita Design avait déjà créé d'autres jeux point & click avant et c'est grâce à Samorost que j'ai pour la première fois entendu parler d'eux. C'est un style particulier et on reconnaît facilement leurs jeux et leurs animations d'un simple coup d'œil.

Il y a moyen d'acheter Machinarium sur Steam pour seulement 20$ (17,30€), et croyez-moi il les vaut largement. En attendant vous pouvez télécharger gratuitement le premier niveau.

mercredi 20 avril 2011

BIFFF 2011 final



18/04/11 13h30 : Akira de Katsuhiro Otomo
Ai-je besoin de le présenter? Ce chef d'œuvre de l'animation a été révolutionnaire sur bien des points en 1988. Le voir ainsi sur un écran de cinéma en version remasterisée a été un vrai bonheur, surtout en ce qui concerne l'ambiance sonore. Si vous ne l'avez pas vu, bougez-vous car vous ne savez pas ce que vous manquez.
18/04/11 16h : Afro Samurai : Resurrection de Fuminori Kizaki
Je n'ai pas vu la série, donc je suis conscient que je ne représente pas le public cible. Mais je n'ai pas été emballé. Super graphiquement, avec une animation impeccable et un univers délirant, je trouve que l'on est pas impliqué dans l'histoire si on ne connait pas les personnages. De plus je déteste les mangas avec des doublages en anglais (à une ou deux exceptions près). Je me regarderai la série un de ces jours.

Condensé de tous les films vu au BIFFF cette année sur webcomics.fr

Si vous aimez dessiner, n'hésitez pas à participer à mon nouveau concours de dessin.

Edit : Félicitation à I saw the Devil pour avoir gagné le Golden Raven cette année.

Banane à Split


Vu dans un restaurant à Silly (Belgique). Héhé.

dimanche 17 avril 2011

BIFFF 2011 - Bal des Vampires




















La paix a été enfin conclue entre les hauts dirigeants de l'église et les ghostbusters.